Sachons remercier Jésus pour le dévouement de l’Église envers nous, par les moyens des sacrements, de telle manière que notre âme soit semblable à celle de ce malheureux Samaritain.

Si nous voulons plaire à Dieu, il nous faut garder l’humilité et reconnaître que nous sommes des serviteurs inutiles dans ce combat terrible qui nous oppose aux naufrageurs de l’Église.

L’Église nous faire lire cette parabole de Lazare et du mauvais riche afin de nous rappeler un enseignement capital de Notre-Seigneur sur les fins dernières.

Nous venons de lire un évangile bien déroutant, comme toutes les paraboles de Notre-Seigneur d’ailleurs.

Les deux fêtes de l’exaltation de la Sainte Croix et de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs sont des fêtes importantes pour honorer ce grand mystère de la souffrance rédemptrice de Jésus sur la Croix et de la compassion corédemptrice de la Vierge Marie.

Le passage de l’Évangile de saint Luc que nous avons à méditer ce matin a de quoi surprendre : « Si quelqu’un vient à moi sans haïr son père, sa mère, sa femme et ses enfants, ses frères et ses sœurs et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple. »

La « fixation » sur l’Immaculée caractérisa surtout le camp de la Phalange dont, outre l’oratorio, les conférences portaient sur les apparitions mariales du 19^e siècle. Mais elle s’est déclinée aussi de diverses façons dans les camps de juillet à Fons, Frébourg et Magé.

L’instrument merveilleux qu’est la musique de frère Henry doit nous faire comprendre et permettre de nous approprier l’héritage du Père Kolbe, d’ouvrir la porte de son cœur pour y voir l’ardent brasier qui y brûle et à son contact, y réchauffer et embraser nos pauvres cœurs.

Notre grand pèlerinage, aux pieds de Notre-Dame de Lourdes, est l’occasion providentielle de renouveler notre engagement dans cette croisade que prêchait déjà saint Maximilien-Kolbe, « comme un nouveau saint Bernard ».

Sommaire du numéro 269 de septembre 2025 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité !