Saint Joseph entra dans les ardeurs plus vives d’un amour plus profond en découvrant l’infinie bonté de Dieu pour lui par la médiation de la Vierge Marie. Saint Joseph aimait en Marie l’image très pure de Dieu qui se reflétait sur son visage.

À la Salette, Notre-Dame est venue réapprendre à son peuple la soumission à Dieu, sous peine de châtiment. Elle a suscité un grand mouvement de réparation pour obtenir miséricorde. Elle a attiré les âmes à une plus grande confiance en sa médiation. Ce sont trois pierres d’attente, en vue de la grande nouvelle, qu’Elle revint révéler en 1917.

Le 10 décembre, le Saint-Père n’a mentionné ni le centenaire de l’apparition de Pontevedra, ni la dévotion réparatrice au Cœur Immaculé de Marie. La Phalange, du moins, tâche de consoler le Cœur de sa très Sainte Mère, par ses pèlerinages, l’étude de l’actualité et la controverse.

Pour comprendre et contempler la Vierge Marie Co-rédemptrice, il faut d’abord répondre à la question, qu’est-ce que le mystère de la Rédemption ? On comprendra alors que l’Immaculée Conception, parfaite dans sa vocation d’épouse du Verbe, ne puisse “faire de l’ombre à son Époux”.

En réponse à la note Mater Populi Fidelis du cardinal Fernandez reprenons le cours magistral de « Théologie toale » de notre Père. Il avait annoncé : « La plus belle conférence de ma vie ! » Elle ressaisit toute la tradition de l’Église par-dessus de débat caduc « minimaliste-maximaliste » au Concile Vatican II.

La grandiose vision de l’apôtre Jean d’une Femme enveloppée par le soleil, la lune sous ses pieds, couronnée de douze étoiles est un des fondements scripturaires de la foi de l’Église en Marie Corédemptrice et Médiatrice de toutes grâces.

Sommaire du numéro 272 de décembre 2025 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité !

Durant ce temps de l’Avent, saint Jean-Baptiste nous donne un exemple que nous pouvons admirer et imiter.

En ce jour de la fête de l’Immaculée-Conception, il nous est bon de méditer le Secret de Marie qui n’est pas encore l’objet d’une définition infaillible de l’Église mais qui fut cependant accueilli dans l’Église primitive comme déterminant, celui de sa Médiation universelle.

En ce deuxième dimanche de l’Avent, l’Église nous fait méditer sur la prédication de saint Jean-Baptiste, le Précurseur, qui annonce la venue du Messie.