Une doctrine de
CONTRE-RÉFORME CATHOLIQUE

DÈS 1959, l’abbé de Nantes démasque l'hérésie progressiste, qu'il voit ensuite triompher au concile Vatican II. Après une analyse attentive des grands débats de ce funeste concile, il en annonce les conséquences désastreuses.

À l'automne 1969, après la promulgation du nouvel ordinaire de la messe, voyant les tradionnalistes se diviser, l'abbé de Nantes a une préoccupation de première importance, celle de défendre l'unité de l'Église. Il maintient son œuvre sur une ligne de crête, entre les abîmes du schisme et de l’hérésie.

Le modernisme envahissant de plus en plus l'Église, l'abbé de Nantes passe en revue un large éventail des sciences modernes pour réfuter les théories les plus en vogue des rationalistes.

Enfin, l’étude du message de Notre-Dame de Fatima vient apporter un flot de lumière sur les raisons surnaturelles de l’apostasie que traverse l’Église et sur ses remèdes.