Nos relations étant conçues à l’image et ressemblance de la Sainte Trinité, nous comprenons donc à quel point leur négation ou leur corruption sont offensantes à Dieu et destructrices de notre propre être, absolument contraires à notre dignité, plus précisément à notre vocation.
« Vingt-cinq ans de vie pour porter du fruit, mais à condition que celle-ci soit déjà une sorte de mort corporelle, dont la façon doit se tirer de la consécration formulée par mère Marie du Divin Cœur. » Tout a commencé par l’exil décrété par Mgr Daucourt.
Après la flagellation et le couronnement d’épines, Jésus passa la nuit du jeudi au vendredi en prison, dans l’attente du supplice que Pilate, par lâcheté, avait accordé aux réclamations des juifs.
Jésus est ressuscité, « selon les Écritures ». C’est la grande preuve de la vérité historique d’un évènement auquel personne n’a assisté, mais qui a eu lieu en accomplissement de prophéties millénaires. C’est pourquoi, aux disciples d’Emmaüs, Jésus administre une leçon d’Écriture sainte.
Par son privilège d’une virginité perpétuelle, sa Maternité divine s’étend à tous les hommes qu’elle enfante non à la mort, comme Ève, mais au salut, c’est-à-dire à l’innocence retrouvée : maternité universelle.
Bienheureux François ! La tristesse de Dieu fut son chemin de perfection, ce qui impressionna le plus son âme si pure et si sensible dans la vision de Dieu, le 13 mai. C’est le testament qu’il laissa à Lucie, c’est l’héritage qu’il laisse à ceux qui veulent embrasser la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.
Comme avant-goût du pèlerinage l’an prochain à Pontevedra, en l’honneur du centenaire de la révélation de la dévotion réparatrice, vue d’ensemble de nos camps de jeunes cet été œuvrant plus efficacement au salut de la France que toutes nos agitations électorales.
Jésus fait par miséricorde le miracle éclatant de la multiplication des pains pour annoncer...
Dans l’Évangile, Notre Seigneur a pitié de la foule qui l’a suivi dans le désert :...
Sommaire de nos travaux sur le Saint Suaire de Turin, preuve de la mort et de la résurrection du Christ.
Étude sur le progressisme, intitulée “ Le mystère de l'Église et l'Antichrist ”, écrite par l'abbé de Nantes de 1959 à 1963.
Évêque et député, Mgr Freppel fut non seulement le saint pasteur de son diocèse, mais aussi le défenseur acharné de la cause catholique et royale contre la Révolution et toutes les compromissions libérales.
Notre Père, l'abbé Georges de Nantes, enseigne une science politique qui pourra devenir à l’heure de Dieu, par son élu, l’art souverain de la renaissance de la France, de la Chrétienté...
Étude sur la guerre d'Algérie. L'abbé de Nantes a dit la vérité sur les faits eux-mêmes, envers et contre une montagne de mensonges, et sur la conduite à tenir, à l’encontre d’une...
Explication claire et précise de notre attitude de refus de cette philosophie de l'Homme et de cette morale des droits fondamentaux, refus irrévocable que nous prononçons en raison de notre foi...