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Nous arrivons vraiment à la fin du drame, et saint Jean nous présente la résurrection de Lazare comme l’annonce du coup de force messianique qui manifeste la gloire de Dieu, annonce le triomphe messianique de Jésus et la résurrection des morts. Le terrorisme exercé par les puissants est de tous les temps ; mais particulièrement du nôtre ; aussi, pareille scène d’Évangile a-t-elle pour nous un air de déjà-vu. Mais l’incrédulité des scribes et des pharisiens, elle aussi est de tous les temps. C’est le consentement des “ gouvernés ” au pouvoir de l’autorité politique qui s’appelle la légitimité, ou qui provient d’une légitimité que nous allons avoir à cerner. Ô mon Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, ce matin, je voudrais faire de votre conversation avec la Samaritaine l’objet de ma méditation. Pauvre Église ! mais le miracle de la conservation du cœur de Pauline Jaricot nous encourage à redoubler nos prières au Cœur de Jésus-Marie pour demander la préservation de celui de notre Mère l’Église, en attendant sa guérison de l’apostasie qui la défigure. Le Père Gabriel Jacquier disait du mois de février que c’était « le mois de Marie de la France », en raison des onze premières apparitions à Lourdes et des cinq premières à Pellevoisin. Nos amis phalangistes se sont rendus dans ces deux sanctuaires chargés d’un message si important pour notre temps. Sans être responsable de la décadence de l’Empire romain, l’Église, avec la Chrétienté médiévale a su porter la civilisation à son sommet, avant que la rupture opérée par Luther replonge celle-ci dans un irrémédiable déclin. Commentaire et réfutation des arguments du curé d’un de nos amis pour refuser d’instituer la dévotion réparatrice des cinq premiers samedis du mois dans sa paroisse. Méditons les mystères douloureux de notre Rosaire afin de consoler le très Unique Cœur de Jésus-Marie non seulement des douleurs endurées jadis, mais des offenses et indifférences, outrages et blasphèmes qui transpercent ce Cœur aujourd’hui. « Dans le temps, une seule foi, un seul baptême, une seule Église, sainte, catholique, apostolique. Dans l’éternité, le Ciel ! » Ce mot Ciel remplit mon âme de paix et de bonheur. Le bien commun est ce que procure l’État à la Nation : l’ordre et le droit qui s’imposent à tous ; mais c’est aussi (ce qui n’a pas été suffisamment souligné) l’art du gouvernant qui chaque jour doit faire face aux dangers, sauver la paix, assurer la prospérité de la Nation. Ayons l’intelligence totale, politique et mystique de la nation : peuple gouverné avec ordre et justice par un État souverain, consentant à cette autorité qui lui procure les bienfaits de la civilisation. En ce deuxième dimanche du Carême, l’Église nous donne à méditer le récit de la Transfiguration. Dans nos temps de modernisme où l’on ne croit plus au Fils de Dieu fait homme, il est bon d’affirmer la pleine Divinité de Notre-Seigneur qui se manifeste dans le mystère de sa Transfiguration. Cette première confrontation du sauveur du monde avec l’ennemi du genre humain est le modèle des épreuves que l’Église aura à subir jusqu’au retour du Christ à la fin des temps. Les martyrs de la Révolution française forment une splendide couronne de gloire autour de la famille royale. Durant ce Carême, découvrons leurs vertus et leur fidélité dans les persécutions, puisées dans une fervente dévotion au Cœur Immaculé de Marie. Nous continuons à méditer la première épître aux Corinthiens où saint Paul nous parle du rôle de l’Esprit-Saint dans l’Église et en chacun de ses membres. N’oublions pas que saint Paul s’adresse aux chrétiens de Corinthe qui étaient loin d’être des anges... Saint Paul dans la première lecture de ce dimanche nous parle de la Sagesse de Dieu opposée à la sagesse du monde. En quoi consiste cette Sagesse ? Que veut-il dire en disant que si Jésus, Sagesse de Dieu était apparu comme Seigneur de gloire, les Pharisiens et les chefs des prêtres ne l’auraient pas crucifié ? L’abbé de Nantes nous a appris peu à peu à nous conformer aux volontés maternelles de la Vierge Marie. D’où notre dévotion réparatrice pour son Cœur Immaculé, d’où notre intérêt croissant pour la Russie, ou encore notre angoisse pour la conversion du Saint-Père dont elle veut conquérir le cœur. Pour garder confiance et espérance dans ces temps si mauvais, et promouvoir la petite “dévotion réparatrice” demandée par le Ciel, au mois de janvier se sont multipliés nos pèlerinages, de la Rue du Bac à Pontmain, en passant par la Bretagne et la Bourgogne. À entendre le concert d’éloges qui suivit la mort du pape Benoît XVI, on pourrait croire qu’il sera un jour proclamé docteur de l’Église. Nous pensons, au contraire, que pour la purification de l’Église si nécessaire et la restauration du dogme de la foi, il faudra jeter l’anathème sur ses écrits et ses discours. Face à la haine vis-à-vis de la Russie qui entend défendre jalousement son territoire, son indépendance, sa souveraineté… et par-dessus tout son âme aujourd’hui chrétienne et demain catholique, il nous faut nous catholiques, prendre le parti de la Russie ? Non ! Celui des États-Unis ? Évidemment non ! Rester neutres ? Encore moins ! il nous faut prendre le parti de la France seule ! Comment pouvons-nous satisfaire aux demandes de Notre-Seigneur dans notre société en pleine apostasie ? En nous mettant à l’école de sœur Lucie de Fatima, confidente et messagère de Notre-Dame qui nous incite à réciter notre chapelet tous les jours. Cet évangile des Béatitudes est d’une extrême douceur. Pour savourer ces béatitudes que Notre-Seigneur nous enseigne, rien de tel que de voir, d’admirer la personne de notre entourage qui nous édifie précisément parce qu’elle vit, pratique cette béatitude. En ce troisième dimanche ordinaire, l’Église nous donne à méditer la première épitre aux Corinthiens où saint Paul rappelle énergiquement aux Juifs et aux païens de son temps qu’il ne faut pas évacuer la Croix du Christ. Aujourd’hui, cet enseignement, que notre Père n’a cessé de proclamer dans ses Lettres à mes amis, est toujours d’une actualité brûlante. La première rencontre de Jean l’Évangéliste, alors disciple du Baptiste, avec Jésus, s’inscrit dans le cadre d’une semaine inoubliable. Ce passage d’Évangile qui rapporte le témoignage de Jean-Baptiste en faveur de Jésus est d’une pureté incomparable. De Palestine au Portugal, de l’étable de Bethléem à l’humble cellule de sœur Lucie à Pontevedra, l’orthodromie divine est sûre... et pas de meilleure manière de consoler le Bon Dieu que de chanter le Magnificat dont le commentaire fut la trame de notre session de janvier. Bravant les froidures de décembre, nos familles phalangistes ont maintenu l’élan de leur dévotion réparatrice, pour visiter l’ancien Carmel de Pau, où vécut sainte Marie de Jésus-Crucifié, le petit sanctuaire Notre-Dame de Paix près de Rouen, enfin Notre-Dame de Liesse, au diocèse de Soissons. Notre Père nous livre le secret ressort de l’histoire universelle et, du même mouvement, nous donner une clef d’interprétation de la théologie de saint Paul et du mystère de l’Alliance qu’il a reçu mission de révéler au monde, ce qu’il appelle « Mon évangile », celui que doit prêcher « L’Église de l’Alliance » La vie cachée à Nazareth a duré trente ans. Regardons vivre ces trois saintes personnes : Jésus, Marie, Joseph, au travail, en silence, en prière. Tout notre idéal de Petits frères et Petites sœurs du Sacré-Cœur et de ceux qui ont adhéré à la Phalange de l’Immaculée. Le pape François et la consécration du 25 mars ne semblent pas faire l’unanimité. Une question légitime exprime bien le malaise : quelle est la différence entre la consécration de François au Cœur Immaculé de Marie et celle de Léon XIII au Sacré-Cœur ? Sommaire du numéro 239 de janvier 2023 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! Les chrétiens hébreux de l’Église naissante « fréquentaient assidûment le Temple et rompaient le pain dans leurs maisons (l’Eucharistie) ». En 62 le martyre de Jacques met brutalement fin à cette double appartenance et laisse les chrétiens “ hébreux ”, et surtout les prêtres, désemparés face à la persécution, ébranlés dans leur foi... C’est alors que Paul prend en charge ses anciens frères séparés, ses adversaires d’hier pour les consoler, les fortifier dans l’épreuve en la leur expliquant, leur redonner ainsi l’espérance et une foi meilleure : c’est l’épître aux Hébreux. Grâce aux apparitions et au message de Notre-Dame de Fatima, voici cette fête de l’Épiphanie que nous croyions dépassée qui revient au premier plan de l’actualité avec son annonce et son espérance du triomphe universel du Christ. Nous allons donc fêter aujourd’hui les rois Mages avec admiration et reconnaissance. Cette rétrospective s'attache à montrer comment le cardinal Ratzinger refusa de condamner efficacement toutes les erreurs doctrinales qui se propagèrent dans l'Église à la faveur du Concile et du pontificat de Jean-Paul II. Devenu pape à son tour, il continua à prétendre lutter contre les divisions autrement qu'en défendant la Vérité, on sait pour quel résultat. « C’est l’ineffable Euripide qui dispose la piété innée des belles âmes d’Athènes à entrer comme de plain-pied dans la mystique chrétienne (...). Tant de scènes imaginées par lui figurent, parfois jusqu’à la ressemblance littérale, des scènes d’Évangile ! (...) D’Euripide, je pense qu’il est, en figures bien entendu ! déjà pleinement chrétien, et mystique chrétien. » Récitons le chapelet et nous serons sauvés. Plus nous nous sentons pécheurs, plus nous nous sentons loin de Dieu le Père, loin de Jésus-Christ, impressionnés par sa majesté, par sa souveraineté sur nous, plus nous devons nous réfugier dans le manteau de la Sainte Vierge et l’appeler à notre aide par la récitation très sainte du Je vous aime ô Marie. Quand est arrivé le quarantième anniversaire de mon sacerdoce, j’ai choisi cette ravissante statuette d’ivoire qui a ravi mon cœur et qui représente la Vierge donnant le sein à son Enfant Jésus. Cette statuette évoque pour moi la joie du Ciel qui découle du mystère de l’Incarnation. Non, le Prophète n’a pas menti qui annonçait merveille plus belle que toutes, une Vierge qui devait concevoir et enfanter l’Emmanuel. Non, les Évangélistes ne nous trompaient pas dans leurs récits enchanteurs de l’Annonciation et de la Nativité où tout est dit par le menu pour notre joie. Non, les splendeurs de toutes les liturgies de l’Orient et de l’Occident ne dépassèrent pas la vérité en vous adressant leurs louanges comme à la très pure, l’inviolable, l’Immaculée, toujours Vierge et très Sainte Mère de Dieu. Il y a vingt-cinq ans, notre bien-aimé Père, constatant l’échec humain de trente ans de combat CRC, décidait de « passer la main à l’Immaculée ». Aujourd’hui, à travers les épreuves et les contradictions, comment nier que Notre-Dame a pris soin de sa petite Phalange ? Nos phalangistes se mobilisent pour multiplier les pèlerinages de dévotion réparatrice. Pour donner corps à l’article sur Notre-Dame du Grand Retour, ils ont commencé par aller la vénérer dans son sanctuaire de Boulogne-sur-mer, l’un des plus anciens de la Chrétienté, puis à Annecy où la Savoie fut consacrée à la Reine du Ciel en 1472.… Dans la lutte de la Femme contre le Serpent, notre vocation est de revêtir la nature et la condition même du Christ sauveur Fils de Marie dans une nouvelle Alliance sainte, plus parfaite encore que n’était la première alliance de Dieu avec Adam. La récitation du chapelet n’est que la continuation de cette louange et glorification de ce que les bergers ont entendu des anges et vu, à l’unisson du Cœur Immaculé de Marie conservant avec soin toutes ces choses et le méditant avec amour. Lorsqu’on veut soigner un patient, il faut commencer par étudier la médecine. De même, pour servir notre Église malade, pour diagnostiquer son cancer, il faut bien connaitre son histoire et étudier son mystère. C’est précisément ce à quoi nous allons nous appliquer pendant ce camp. Sommaire du numéro 238 de décembre 2022 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! L’évangile de ce dimanche nous met en présence de la personnalité énigmatique et considérable de saint Jean-Baptiste, le Précurseur. Tout l’Ancien Testament converge vers Jean-Baptiste et Jean-Baptiste montre en Jésus le Messie tant attendu. Pour vaincre le Diable, échapper au monde, garder la pureté de la chair et l’humilité de l’âme, l’ardeur du cœur, un seul recours : l’Immaculée Conception, la Mère du Bel Amour, la Vierge aimée de Dieu, Marie au Cœur Immaculé. Aimer la Sainte Vierge est une grâce d’élection. Je voudrais vous recommander de prendre pour modèle pendant cet Avent saint Jean-Baptiste, le Précurseur, l’ermite du désert, le Précurseur du Messie, celui en lequel tout l’Ancien Testament se résume et prend sa force.La résurrection de Lazare : coup de force messianique
Jésus guérit l’aveugle-né :
« la lumière du monde » défie les ténèbresPolitique totale
La légitimitéJésus et la Samaritaine
« Le cœur est roi »
En route vers Notre-Dame (4) !
“ Sainte Église notre Mère ”
L’Église maitresse de civilisationDévotion réparatrice
révélation privée ou nouvelle alliance ?« Récitez le chapelet tous les jours. »
Les mystères douloureux du Rosaire (I)« Le Ciel ! Le Ciel ! »
N° 241 - Mars 2023
Politique totale
Du bien commun nationalPolitique totale
La nationLa transfiguration dans notre spiritualité
Satan tentateur de Jésus et de son Église
Carême 2023 avec les martyrs de France (II)
Le rôle de l’Esprit-Saint dans l’Église de Corinthe
La Sagesse de Dieu n’est pas la sagesse du monde
La Ligue : Enfants de l’Immaculée
En route vers Notre-Dame ! (3)
Ratzinger-Benoît XVI :
Le responsable de la ruine de l’Église, c’est luiLa France, la France seule !
N° 240 - Février 2023
Récitez le chapelet !
Mise en pratique des Béatitudes
N’oublions pas, chrétiens, la Croix du Christ !
Le Baptiste désigne le Fils de Dieu et roi d’Israël
La Ligue : Épiphanie réparatrice
En route vers Notre-Dame ! (2)
Sainte Église notre Mère : L’Église de l’Alliance
« Récitez le chapelet tous les jours. »
Les mystères joyeux du Rosaire (III)Je vous aime, ô Marie !
N° 239 - Janvier 2023
L'épître aux Hébreux
L’Épiphanie de notre espérance catholique
Le cardinal Ratzinger à la conquête du trône pontifical
Euripide
La dévotion à la Sainte Famille est le moyen d’acquérir toutes les vertus
La Vierge allaitante dans la crèche est déjà corédemptrice
2023
En l’honneur de la bienheureuse et toujours Vierge Marie
La Ligue : Venez, Divine Marie !
En route vers Notre-Dame !
Sainte Église notre Mère : Le grand projet divin
« Récitez le chapelet tous les jours. »
Les mystères joyeux du Rosaire (II)Georges de Nantes, fils de l’Église
N° 238 - Décembre 2022
La personnalité de saint Jean-Baptiste
Aimer la Vierge Marie est une grâce d’élection
Saint Jean-Baptiste admirable et imitable !