Il est ressuscité !
N° 266 – Mai 2025
Rédaction : Frère Bruno Bonnet-Eymard
Que faut-il penser du Pape Léon XIV ? Voilà une question capitale qui sans doute habite vos esprits comme elle habite les nôtres depuis le 8 mai. La Vierge Marie a tissé d’une seule pièce la tunique de son Fils après l’avoir “ tissé ” dans son sein virginal. Au concile d’Éphèse, elle l’emportait contre l’hérésie de Nestorius lorsque le peuple acclama la Théotokos. Mais pas sans le Pape ! qui est la voix de l’Église. Impressionné par la vie bien remplie au service de l’Église de Léon XIV, on est aussi invinciblement étreint par l’angoisse : né en 1955, il a nécessairement été victime de la rupture de Tradition que l’abbé de Nantes redoutait tant, provoquée par Vatican II au sein même de l’Église. L’encyclique restera comme le testament de son pontificat. Si le cœur triomphe, alors, ce sera l’avènement de la civilisation de l’Amour, gage de la paix universelle par la bonne entente de tous avec tous. Le cœur du Pape le voulait ainsi. Le Cœur de Jésus aussi ?... pas tout à fait. Après les horreurs sanglantes et sacrilèges de la Révolution, après les épaisses ténèbres des fausses “ Lumières ”, la Reine du Ciel exerça son droit de grâce. Alors s’ouvrit un nouveau siècle de grâces mariales qu’on allait appeler « le siècle de l’Immaculée ». Cette devise de l’année jubilaire convient spécialement à notre Phalange au moment décisif d’un changement de pontificat.« Habemus Papam ! »
L’Église, tunique sans couture, tissée par l’Immaculée
Le service de l’Église (1)
Une encyclique sans destinataire : la lettre encyclique Dilexit nos du Saint-Père François sur l’amour humain et divin du Cœur de Jésus-Christ (5)
La “ France de Marie ”
Au XIXe siècle : l’Immaculée, Régente de France« L’Espérance ne déçoit pas » (Rm 5, 5)