La circumincessante charité

Le Paradis éternel

Sainte Thérèse sur son lit de malade« MARCHONS en paix, en regardant le Ciel, l’unique but de nos travaux », disait sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, exprimant là le grand principe et fondement de toute la religion de nos pères et des saints du XIXe siècle. Leur conviction absolue et leurs pensées habituelles qu’on retrouve aussi dans les cantiques comme “ Le Ciel en est le prix ! ” sont que la vie dans cette vallée de larmes est courte, qu’il faut tout faire en vue du Ciel où on se donne rendez-vous ! C’est cette même vérité de notre foi que notre Père exprime dans cette maxime : « La terre n’est rien, le Ciel seul compte. Oui, mais il nous faut le gagner, et cela sur terre. »

À notre époque d’apostasie où plus personne, même dans l’Église ne parle du Ciel, la prédication très enthousiaste et concrète de notre Père sur le Ciel est une grâce unique et précieuse pour garder la foi, désirer le Ciel et tout faire pour y aller nous-mêmes en y entraînant tous ceux que nous aimons !